mercredi 4 juin 2008

Arrivée à Sydney





Nous passons sur un incroyable pont sur pilier presque dans la mer, une construction digne des chinois. Deux bonnes côtes à monter, mais de courte durée et on arrive à la porte d’un parc national. Il est très agréable de rouler dans cette belle forêt d’allure tropicale. Nous avons même quelques vues lointaines de Sydney.

Arrivés à Bundeena, le camping numéro 1 est fermé. Le deuxième est situé sur les bords d’une jolie baie avec des installations récentes. Le problème, il fait froid, pas un chat et surtout, pas d’eau chaude. C’est pas vrai que l’on va prendre une douce de misérable en se faisant chauffer de l’eau chaude sur le petit poêle de camping. Non môsieur ! Direction le traversier. Par hasard on recroise John qui s’en allait au camping numéro 2. On lui fait part de nos observations et il monte avec nous dans le mini traversier.


Les maisons au bord de l’eau sont luxueuses. C’est assez peuplé dans cette zone puisque chacun veut une place au bord de l’eau. Nous mettons le pied à Cronulla, banlieue de Sydney. La soirée dans une chambre de motel est consacrée à la réservation d’un appartement-hôtel pour notre séjour à Sydney. Cette ville est immense et on n’a pas beaucoup d’idée sur les quartiers intéressants.

Le lendemain, on repart pour un petit 30 km pour entrer en ville. On a la chance d’avoir le spectacle des avions qui atterrissent et décollent au loin. Une piste cyclable longe une baie et d’autres maisons décadentes de luxe.
Près de l’aéroport, on doit passer dans un tunnel autoroute où il n’y a pas de place pour nous, la dite route étant celle suggérée par le Lonely planet. Ça et arriver de nuit sur les autoroutes de Bangkok, c’est 2 choses très dangereuses que je ne recommanderais pas à mon pire ennemi.


Ensuite, quartiers résidentiels de banlieue et puis, le centennial park, Sydney, nous voici. Ce parc est très particulier. Les gens viennent y promener …leur cheval ! Il y a des jeux équestres dans le parc et les gens arrivent avec leur cheval dans un « boggey » derrière l’auto. Rien de trop beau pour la classe moyenne !


Marie-Bri